L’observatoire des violences POLITIQUES
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À Propos

MANIFESTE DE L'OBSERVATOIRE DES VIOLENCES POLITIQUES

LES ÉMEUTES DE 2023

À la fin du mois de juin 2023, Nahel Merzouk refuse d’obtempérer auprès de la police et meurt au volant d’une voiture de sport. Les banlieues profitèrent de ce fait divers pour embraser tout le pays. Partout, des racailles attaquèrent ce qui représente l’État et donc la France : commissariats assiégés au mortier, écoles assaillies puis brûlées, bâtiments publics investis puis détruits.  Ces émeutes, loin d’être une simple insurrection face à une injustice, furent propices aux pillages les plus barbares, n’épargnant aucun commerce dans aucune ville. Concessions automobiles, supermarchés, boutiques de vêtements, boutiques de chaussures, magasins d’électroménager, rien n’échappa à la pulsion dévastatrice de ces racailles en quête de vengeance et d’assouvissement marchand. Plus encore, les émeutiers s’exportèrent dans certains quartiers résidentiels, faisant ainsi miroiter pendant un temps un possible bain de sang. Aucune parcelle du territoire n’a été épargnée par cette guerre civile à basse intensité : Montargis, Belley, Vernon, Givors, Annonay, Annemasse, Montluçon, Creil, Podensac... Vous ne connaissez pas ces bourgades ? La racaille, elle, triomphe dans ces contrées. Le chaos ne se cantonne plus aux « quartiers chauds » des grandes villes, le virus s’est hélas diffusé dans tout le corps national.

Ces émeutes antifrançaises de 2023 n’étaient qu’un rappel. Un rappel, pour nous Français, que la paix sociale dans ce pays est fragile ; que l’équilibre qui subsiste aujourd’hui est cruellement précaire ; c’est l’ultime rappel que tout peut dégénérer du jour au lendemain, sans motif valable ou plutôt pour n’importe quel motif. Les Français ont eu peur, les Français ont peur, mais une large partie d’entre eux se voile encore la face, ne voulant pas briser le tabou, refusant de regarder la réalité en face. Car ce rappel salvateur de l’état déplorable de notre pays, de cette fracture civilisationnelle entre deux peuples qui vivent de plus en plus face à face, ne restera pas sans suite. Il y aura une suite, elle sera à n’en pas douter plus inquiétante, plus choquante, plus importante encore. Nous n’en sommes qu’aux prémisses.

CONVERGENCE RACAILLES - ANTIFAS

Beaucoup l’ignorent, mais les émeutes de 2023 n’ont pas eu pour seuls protagonistes les racailles de banlieues. En effet, des militants d’extrême gauche ont également contribué à alimenter un climat de guerre civile en fomentant la révolte dans les centres-villes afin de dénoncer ce qu’ils nomment « violences policières » et « racisme systémique ». Dans le champ politique, La France insoumise, qui n’a jamais la moindre compassion lorsque de vrais innocents sont lâchement assassinés, s’est délectée de sa puissance de nuisance en soufflant sur les braises de l’émeute, en incitant aux violences et en justifiant les pillages. Dès lors, fidèles à leurs habitudes et comme leurs camarades des banlieues, les militants antifascistes commirent violences et dégradations, touchant du doigt la convergence des luttes qu’ils fantasment tant. Ainsi, entre racailles de banlieues et antifas, la frontière est fine : ils sont unis par les liens du saccage.

VIOLENCES D'EXTRÊME GAUCHE

L’extrême gauche se conçoit comme une toile d’araignée qui se propage dans tous les pans de la société : elle se compose de partis institutionnalisés qui rêvent d’incarner la République ; son ossature est consolidée par de très nombreuses associations subventionnées par l’État ; sa force de frappe se matérialise par des syndicats et des groupes de pression qui font régner la terreur idéologique dans les entreprises, dans les services publics ou encore dans les médias ; son potentiel révolutionnaire s’incarne au travers de factions antifascistes violentes qui visent à nettoyer les rues et à alimenter la subversion. Tous ces morceaux qui forment le puzzle de l’extrême gauche n’entretiennent à première vue pas de liens, mais ils sont en réalité très connectés et très solidaires, ce qui en fait un grand danger. Toutes ces sphères défendent la même idéologie, elles désirent avec la même hargne renverser l’ordre social et pour cela, elles déploient différentes méthodes, tantôt pour influencer, tantôt pour contraindre.

Plus que jamais, l’extrême gauche a la haine de la France comme socle, le chaos multiculturel comme but et l’anarchie comme horizon.

LA MISSION DE L'OBSERVATOIRE

Dans tout le pays, la colère contre les violences d’extrême gauche et la menace qu’elle représente s’amplifie à chaque fois qu’un de leur délit est filmé et diffusé. Toutefois, ces mêmes violences tendent à se multiplier et, systématiquement, un sentiment d’injustice et d’impuissance s’empare de chacun de nous alors que l’État ne réagit pas et que la justice ferme les yeux. L’Observatoire s’insurge contre cette fatalité et aspire à briser ce cercle vicieux de l’impuissance.

Avec L’Observatoire, l’extrême gauche sera enfin mise à nue : nous dévoilerons sa nature sectaire et totalitaire, ses incessants dérapages idéologiques et sa détestation non-dissimulée de la France, ses accointances avec l’islamisme, sa propension à diaboliser ses adversaires politiques jusqu’à les tuer socialement, ses exactions dans la rue, son noyautage incessant des institutions, ses appels à l’insurrection, ses pillages en dépit de son rejet du capitalisme, ses attaques de biens publics et privés, ses agressions d’opposants politiques voire de personnes indifférentes.
Sa suprématie semble totale : alors que la férocité des antifas est à peine dissimulée, leurs agissements sont souvent minimisés par des médias complaisants et une justice idéologisée acquise à sa cause qui leur offre sur un plateau le diplôme du monopole de la violence politique légitime.

Avec L’Observatoire, vous découvrirez ce qui se cache derrière l’extrême gauche : son identité, ses structures, ses liens, ses méthodes, ses tentatives de déstabilisation, ses membres. En faisant passer ces groupuscules de l’ombre à la lumière, nous pouvons espérer les mettre hors d’état de nuire. Aucun des troubles commis par l’extrême gauche ne doit être passé sous silence. Cela est une nécessité, il en va de l’intérêt de la nation.