
Angers : l’extrême gauche manifeste contre la Nuit du Bien Commun et… attaque une poissonnerie
Le mercredi 1er octobre, environ 300 personnes se sont rassemblées devant la mairie d’Angers (Maine-et-Loire) pour protester contre la Nuit du Bien Commun, une soirée caritative co-créée par le milliardaire Pierre-Edouard Stérin dont le but est purement philanthropique car il s’agit de lever des fonds pour des associations.
La manifestation, organisée notamment par des groupuscules antifa, visait à diaboliser une soirée caritative comme s’il s’agissait d’un meeting politique d’extrême droite. Pierre-Édouard Stérin, la nouvelle bête noire de l’extrême gauche, est perçu comme « antiféministe, fasciste et nataliste ». Des slogans comme « Siamo Tutti Antifascisti » et des pancartes telles que « Ni Dieu, ni Stérin » ont également été observés.
La mobilisation, qui s’est déroulée en fin d’après-midi, a été majoritairement pacifique. Cependant, en début de soirée, des antifas ont attaqué la Poissonnerie située place du Lycée en brisant sa vitre. Le commerce n’a pas été ciblé au hasard : les gérants sont soupçonnés d’être proches des militants identitaires locaux ! Aucune interpellation n’a été effectuée cependant.
Enfin, malgré l'attaque de la poissonnerie quelques minutes plus tôt et l'agression d'une riveraine qui filmait, la police qui avait bloqué en tenaille le cortège sauvage (donc illégal) dans une ruelle a laissé repartir les antifas vers le centre sans procéder à aucun contrôle parmi les antifas.
Définitivement, l’extrême gauche angevine a une dent contre les entrepreneurs et les artisans. Elle harcèle régulièrement des bouchers, saccage un bar du centre-ville d’Angers et dégrade un café au Lion-d’Angers, sous prétexte que les individus visés seraient également d’anciens militants nationalistes.




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