L’écrivain Robert Brasillach a été fusillé le 6 février 1945 par la résistance gaullo-communiste qui lui reprochait d’avoir soutenu le fascisme pendant la guerre et de l’avoir défendu au travers de ses écrits. Des militants d’extrême droite rendent chaque année hommage à cet écrivain qu’ils ont érigé en martyr. Toutefois, chaque année également, des militants d’extrême gauche tentent d’empêcher ce moment de recueillement en rôdant autour du cimetière de Charonne, situé dans le XXe arrondissement de Paris, à la recherche de proies isolées.

Cette année, une manifestation antifasciste a été organisée le samedi 8 février à 13h place de la Réunion. La profanation de la tombe de Robert Brasillach a provoqué l’évacuation du cimetière et vraisemblablement sa fermeture pour un certain temps. Les personnes qui voulaient rendre hommage à Robert Brasillach n’ont donc pas pu le faire.

Après Charles Maurras et Jean-Marie Le Pen, l’extrême gauche s’en prend une nouvelle fois à une tombe, cette fois-ci la taguant avec de la peinture noire.

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