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Saint-Herblain (44) : sous la pression de l’extrême gauche, la mairie annule la réunion publique du RN
Le samedi 22 février, le Rassemblement National devait organiser une réunion publique à Saint-Herblain, près de Nantes. Depuis plusieurs mois désormais, le parti patriote multiplie les événements en Loire-Atlantique, et ceux-ci se ressemblent tous sur un point : à chaque fois, des groupuscules antifascistes se mobilisent pour empêcher la réunion de se dérouler convenablement. À Vertou, le 26 octobre dernier, les antifas ont dû être repoussés par la police afin de les empêcher d’accéder au lieu de réunion du RN ; le 14 décembre, à Orvault, la même scène se reproduisait, toujours issue d’une alliance entre les groupuscules antifa de Nantes et de Rennes ; enfin, le 25 janvier 2025, la mairie de Savenay a été taguée pour dénoncer la municipalité, qui avait accepté de louer une salle au RN (ce qu’elle a, de toute manière, le devoir de faire).
Cette fois-ci, à Saint-Herblain, la municipalité, sous pavillon socialiste, a préféré interdire la réunion du RN au nom du risque de troubles à l’ordre public. La stratégie de terreur de l’extrême gauche est clairement tracée : à l’annonce de la réunion publique, les antifas se ruent sur la mairie pour la taguer et menacer le RN, avec des slogans comme « Pas de fachos ici » ou « Mairie collabo ». Cette fois-ci, le centre socioculturel a également été dégradé. Face au risque d’une mobilisation antifasciste violente, la mairie a préféré annuler l’événement du RN.
Une nouvelle preuve qu’en France, c’est bien l’extrême gauche qui empêche la libre expression des droits démocratiques, normalement garantis à tous les citoyens. Plus encore, il convient de souligner que La France insoumise, pourtant empêtrée dans l’affaire Cottineau, était aux avant-postes pour manifester contre le RN !