Alors que le Syndicat de la Famille organisait une action banderole pacifique devant un bâtiment du rectorat à Aix-en-Provence afin de dénoncer le wokisme et le transsexualisme promus dans certains manuels scolaires utilisés par l’Éducation nationale, l'action a vite pris une tournure bien différente.

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Or, alors que les militants distribuaient des tracts, Léo T. est sorti du bâtiment du rectorat et a commencé à invectiver les membres du Syndicat de la Famille. L'individu, qui s'est dévoilé être un opposant politique violent, a alors pris à partie une mère de famille, qui par ailleurs souffre d'un handicap, et a laissé sa haine s'emporter dans un torrent d'insultes. Focalisé sur la même personne, il a donc frappé Virginie Merlin, âgée de 53 ans, en plein visage, avant de repartir.

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Atteinte d'une triple fracture au nez, la victime a reçu sept jours d'ITT et a déposé plainte. Le rectorat a réagi mollement, se contentant de condamner « toute forme de violence ». Une agression par un militant d'extrême gauche qui est largement passée sous les radars, comme bien souvent.

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Virginie Merlin, qui refuse de se taire, a témoigné au micro de Frontières :