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Faculté de Saint-Denis : les militants de la Cocarde étudiante visés par un individu armé
Le vendredi 28 mars, la Cocarde étudiante tractait sur les campus des facultés de Saint-Denis et de Nanterre. La veille, à Tolbiac, la tension était déjà montée avec l’extrême gauche qui, comme à son habitude, ne laissait pas les militants de droite tracter comme les autres. Ils ont empêché la Cocarde et l’UNi de tracter, ils ont tenté de les agresser et de les faire partir :
À Nanterre, un antifa a même proposé des « 1 vs. 1 » aux militants de la Cocarde, avant de perdre et finir en sang, ce qui permet désormais à l’extrême gauche de se poser en victime, alors que c’est bien elle qui provoque, empêche et cherche la confrontation.
Plus tôt à Saint-Denis, un événement d’une gravité bien supérieure s’est produit. Comme à chaque fois que la Cocarde est présente sur le campus, dans le seul but de tracter et de diffuser ses idées, une contre-manifestation d’extrême gauche plus ou moins violente s’organise.
Un individu, d’abord mêlé aux militants d’extrême gauche du Poing Levé, est ensuite venu à la rencontre des militants de la Cocarde, comme le démontre le procès-verbal ci-dessous :
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Après des menaces de mort, il réitère sa volonté d’en découdre. C’est alors qu’il tente de dégainer son arme, cachée sous son manteau. La vigilance des militants de la Cocarde a permis de le désarmer directement. Cet individu se nomme Denis AGASSAN. Il serait déjà connu des services de police pour des faits de radicalisation. Toutefois, il n'a PAS été interpellé car il s'est réfugié dans la faculté et le doyen a refusé que les policiers interviennent dans l'enceinte !
Il est encore impossible de dire si l’arme était réelle ou non, mais elle était chargée et c’est un militant de la Cocarde qui a vidé le chargeur avant de jeter l’arme sur le toit de la faculté, en attendant l’arrivée de la police.
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Le drame n’est pas passé loin. Jusqu’où ira la traque de l’extrême gauche contre les militants de droite ?
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