Des militants LGBT s'en prennent aux catholiques après une prière de réparation
La cérémonie des Jeux Olympiques a divisé la société française encore un peu plus
Au début du mois d'octobre, plus de 200 catholiques s'étaient réunis sur la passerelle Debilly à Paris pour prier en réparation de ce qu'ils considéraient être un blasphème, à savoir la reproduction de la Cène avec des drag queens durant la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques. Cette démarche était alors uniquement religieuse.
À cette démarche religieuse, l'extrême gauche, et notamment le collectif LGBT « les Inverti-e-s », a répondu par une démarche politique et provocante. À la fin du mois d'octobre, des membres du lobby LGBT ont organisé une « parade de ré-homosexualisation » de la même passerelle. Cette action constitue un acte délibérément antichrétien où le blasphème ne se cache pas, entre utilisation de la croix pour un message obscène et moqueries envers le Christ.