Gérald Sutrooghen, candidat d'extrême gauche soupçonné du meurtre de Robert, 79 ans
Entre violeurs, pédophiles et assassins, les rangs de l'extrême gauche ne sont pas sains
Le 22 septembre dernier, à l'occasion des Journées du patrimoine, Robert, âgé de 79 ans, tient un stand de vente de gâteaux au Domaine de La Grange-la-Prévôté, à Savigny-le-Temple. Engagé dans l'association des amis du château depuis déjà de nombreuses années, Robert passait une journée agréable au service du Bien Commun jusqu'à qu'il ne croise la route d'un homme de 39 ans, potentiellement alcoolisé et assurément véhément. Celui-ci, au mépris de la bienséance, s'est arrogé le droit de prendre une part de gâteau, puis une deuxième, puis un peu trop. Robert, poliment, lui fait alors une remarque.
L'individu, contrarié, commence à proférer des insultes à l'encontre de Robert et des membres de l'association. Empereur en son royaume, Robert lui répond sans concession : « Si cela ne vous plaît pas, vous partez ! ». Immédiatement, Robert se prend deux droites dans la tête et tombe. L'agresseur s'acharne sur lui et l'enchaîne au sol. Robert se relève, puis retombe peu de temps après. L'individu est interpellé tandis que Robert est hospitalisé. Le 11 octobre, Robert est finalement décédé.
Qui a assassiné Robert ? Selon Damien Rieu, le suspect serait Gérald Sutrooghen, né en 1985 et bien âgé de 39 ans comme l'indiquait Le Parisien. Or, Gérald Sutrooghen n'est pas n'importe qui. En effet, il est un militant bien connu des Écologistes et, à ce titre, il s'est présenté sous cette étiquette lors de nombreuses élections. Ainsi, il était candidat EELV/Front de gauche lors des élections départementales 2015 dans le canton de Combs-la-Ville et il était également candidat des mêmes élections en 2021 dans le canton de Savigny-le-Temple. Il était également sur la liste du Front de gauche lors des élections régionales de 2015.
Malgré l'agression sous les yeux de nombreux témoins, malgré son interpellation, Gérald Sutrooghen n'avait pas été placé en détention provisoire, mais simplement placé sous contrôle judiciaire. Après la mort de Robert, la justice pourra requalifier l'affaire en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et ainsi l'accusé devrait être emprisonné. Après les affaires d'agressions sexuelles et de pédophilie, voilà que des rangs de l'extrême gauche sort désormais un potentiel assassin. Tout cela, sans que l'orchestre médiatique ne s'agite outre mesure.