Rennes, capitale des destructions d’extrême gauche. Le 25 janvier, malgré la censure de nombreuses dispositions de la loi immigration par le Conseil constitutionnel, les antifas rennais ont tenu à rappeler à toute la ville bretonne qu’ils souhaitaient plus d’immigration. Ainsi, après avoir bloqué la faculté de Rennes 2 la veille, un cortège d’environ 500 militants d’extrême gauche, pour une partie constituée en black bloc, s’est adonné à différentes destructions : bâtiments tagués, poubelles brûlées, espaces publics détruits, vitrines attaquées et magasins pillés. Rennes est habituée à la délinquance "rouge" mais ce soir-là, le chaos a atteint un degré presque inédit.

Ces promoteurs de la justice sociale ont également renversé une voiture garée sur une place handicapée qui appartenait à une personne handicapée. De même, ils ont heureusement échoué à incendier une agence bancaire mais ont bien réussi à piller le magasin Crazy republic et tant d’autres. Ces antifas sont donc anticapitalistes mais pas antimatérialistes. La police n’a rien fait pour arrêter ces nervis que le préfet de la région Philippe Gustin a qualifié de “terroristes d’ultragauche”.

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