Le samedi 22 mars, l’extrême gauche défilait dans toute la France contre le « racisme et l’extrême droite ». Rennes, qui est une place forte de l’extrême gauche, a mobilisé plusieurs personnes dans la rue. Néanmoins, quelques jeunes femmes ont voulu porter la contradiction au discours d’extrême gauche en déployant la banderole suivante : « 53% des femmes favorables à une immigration zéro ».

Ces jeunes femmes, qui font partie du collectif Némésis, ont très vite été agressées par des hommes, dont l’un d’eux portait un gilet du syndicat Solidaires. 

À l’issue de la vidéo, une des militantes a été projetée au sol par un homme habillé en bleu et qui a porté un coup :

Après s’être rendue à l’hôpital, le verdict est tombé : elle s’en sort avec une fracture du doigt. 

Cet homme en keffieh a également été particulièrement agressif, n’hésitant pas à coller son objectif sur le visage des militants afin de les photographier.

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L’extrême gauche rennaise est une grande habituée des agressions en surnombre, la dernière remontant à la fin du mois de février. 

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