À Vienne (38), l'extrême gauche interrompt une minute de silence pour Philippine
Ils se sentent intouchables et croient avoir tous les droits : les militants d'extrême gauche souillent même la mémoire des morts. Qui sont-ils ?
Dans plusieurs villes françaises, comme à Lyon, Aix-en-Provence ou encore à Paris, des manifestations ont été organisées afin de dénoncer le meurtre de Philippine par un Marocain sous OQTF et pour lui rendre hommage. Ce fut également le cas à Vienne, en Isère. Toutefois, un évènement particulier a marqué ce rassemblement. Si les contre-manifestations d'extrême gauche sont courantes, celle-ci a redoublé d'ignominies. En effet, alors qu'une minute de silence se déroulait, les nervis se sont mis à brailler « Siamo tutti antifascisti ».
Certains contre-manifestants ont été identifiés.
Quentin Dogon, professeur de sciences industrielles de l'ingénieur au lycée Galilée à Vienne, ancien candidat pour la NUPES en 2022 et militant chez les Écologistes.
Allan Brunon, antifa proche de la Jeune Garde, assistant parlementaire du député LFI Gabriel Amard, déjà condamné pour diffamation et injures publiques, a été à l'origine d'une contre-manifestation contre un meeting de Marion-Maréchal à Charvieu-Chavagneux.
Julia Merlin, professeur de français au lycée Galilée.
Myriam Thieulent, salarié à l'assurance maladie, candidate LFI aux élections européennes.
Jonathan Besse, psychologue spécialisé dans l'enfance à Saint-Clair-du-Rhône, vous pouvez solliciter un rendez-vous ici.
Si vous disposez d'informations supplémentaires concernant les autres participants à cette manifestation, n'hésitez pas à les transmettre à observatoireviolences@proton.me.
À noter qu'à Aix-en-Provence, les discours été émaillés d'insultes proférées par des individus d'extrême gauche :