À Albi, sur le campus Champollion, l’heure est aux élections étudiantes. Comme dans toutes les facultés de France, plusieurs listes s’affrontent, mais un seul camp menace, insulte et agresse : c’est l’extrême gauche.

Le 14 mars, L’Observatoire a révélé qu’un militant de la Cocarde, qui venait de participer à un tractage, avait été suivi jusque chez lui puis agressé par deux antifas. La victime a déposé plainte et dévoile qu’avant l’agression, un père et un fils s’amusaient à fliquer les militants de la Cocarde. En effet, Mathéo Romanet et son père Lionel sont venus à la rencontre des membres de la Cocarde avant l’agression. Le fils, étrangement, passait des coups de téléphone, comme pour rameuter ses camarades antifas.

Alors que le militant patriote rentrait chez lui, il a été intercepté dans le hall de son immeuble par deux antifas puis lynché. Il est menacé par les antifas, qui lui font comprendre que désormais, ils savent où il habite. Tout cela a été clairement entendu par la compagne de la victime, qui se trouvait dans l’appartement.

Un des agresseurs a été identifié, il s’agit de Robin Laprade, que voici :

Ce mardi 18 mars, les antifas ont réitéré. Alors que les militants de la Cocarde se trouvaient sur le campus et tractaient devant le restaurant universitaire, ils ont été attaqués par des militants d’extrême gauche, qui ont fini par être repoussés. Néanmoins, un militant de la Cocarde est blessé. Parmi les agresseurs, des membres de l'O2A, dont Matéo Romanet, Karim Khemici et Raphaël Moutons, en photo ici.

Matéo Romanet, impliqué dans les deux agressions, se trouve à droite sur la photo ci-dessous. À sa gauche, il s'agit d'Antonin Vaisse, un militant antifa anciennement albigeois et désormais expatrié vers Périgueux.

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Enfin, voici Karim Khemici, qui est vidéaste et photographe. Il partage son travail au nom de « Zooloo prod » :

Ces deux agressions, qui se noient parmi de nombreuses autres agressions, ne font pas l’objet d’un quelconque traitement médiatique de la part des autres médias.

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Si vous disposez plus d'informations à propos des agresseurs, n'hésitez pas à contacter L'Observatoire via observatoireviolences@proton.me

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